Assurance-vie, retraite, immobilier, produits de défiscalisation, aide juridique et fiscale : les CGPI ont pour objectif de proposer les meilleures solutions patrimoniales…
Leur arme : l’indépendance. A la différence des banques ou des assureurs, tentés de vendre en priorité les produits maison, ces indépendants (94,8% des cabinets sont détenus par des personnes physiques et 67,1% ont un actionnariat familial) peuvent choisir les produits qu’ils proposent en toute liberté…
Pour faire le bon choix, mieux vaut prendre des précautions en amont…
La profession est assez bien encadrée, mais il faut s’assurer que son futur conseiller est de toute confiance. Il doit être estampillé « Conseiller en instruments financiers » (CIF), avoir un casier judiciaire vierge et adhérer à une association professionnelle bénéficiant de l’agrément de l’Autorité des marchés financiers, comme la Chambre des indépendants du patrimoine (CIP), l’Anacofi, la CNCIF ou la Compagnie des CGPI.A chacune des activités de conseil correspond un label professionnel obligatoire : pour les opérations sur comptes, le statut d’intermédiaire en opération bancaire (IOB), pour l’assurance, celui de courtier et, pour l’immobilier, celui d’agent…
Enfin, il faut prendre en compte l’expérience du CGPI, sa reconnaissance par ses pairs, son indépendant capitalistique (51% du capital doit être détenu par des personnes physiques). Autant de critères que nous avons intégrés pour établir notre sélection (lire tableau), qui comprend de très grandes structures comme des petites bénéficiant d’une réputation établie.
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